Mooncard, le spécialiste de la gestion des notes de frais, lève 37 millions d'euros

Mooncard, le spécialiste de la gestion des notes de frais, lève 37 millions d'euros

La startup française qui a su s'imposer comme la fintech de référence en matière de dématérialisation des frais, vient de réaliser une levée de fonds de 37 millions d'euros pour accélérer son développement et adapter sa solution à d'autres marchés européens.

Publié le 20-04-2023 par Valérie Macquet

La solution note de frais la plus complète du marché


Fondée en 2016, la startup Mooncard propose une plateforme de gestion des dépenses professionnelles, qui s'adapte à tous types d'entreprises, quels que soient leur taille ou leur domaine. Sa solution SaaS de cartes de crédit, interfacée avec le logiciel comptable de la société (SAP, Cegid, Sage...) permet de totalement automatiser le traitement des notes de frais...Plus aucune saisie, récupération automatique de la TVA, mise en place, au cas par cas, d'un plafond quotidien, gestion personnalisée des profils d'utilisateurs à l'aide de 60 critères, et même, bientôt, mesure de l'empreinte carbone de chaque dépense...La fintech revendique 6 000 clients : des TPE, PME, des grands comptes tels qu'Air France, Cora, Vinci, Zadig & Voltaire, Mirakl, Norauto, etc ;  mais aussi l'armée française, ou le cabinet de la Première Ministre...


Des fonds pour solidifier ses fondations ...


Ce tour de table en série C, a permis à Mooncard de lever 37 millions d'euros,auprès des fonds Orange Ventures et Portage, ainsi que ses quatre investisseurs historiques, Aglaé Ventures, Blackfin Capital PartnersPartech Partners et RAISE Ventures. L'entreprise, qui compte 150 salariés, prévoit de recruter une quinzaine de personnes en 2023, et de poursuivre son développement... "Pour nous, cette levée de fonds est le moyen de solidifier nos fondations en renforçant les pays où nous sommes présents depuis un peu plus d'un an, et de développer de nouveaux projets, comme l'ouverture de nouveaux pays, et des opérations de M&A en 2023 ou 2024", confiait ainsi Pierre-Yves Roizot, le CEO, à l'Usine Digitale.

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