Après deux ans de télétravail à grande échelle, faut-il plus ou moins de bureaux ?
Faut-il plus ou moins de bureaux ? et où les implanter ? C'est la double question que se posent les directeur généraux, directeurs financiers, directeurs des ressources humaines et directeurs immobiliers depuis le début de la crise sanitaire. Pour y voir plus clair, l'Association des directeurs immobiliers (ADI) a commandé à EY une enquête auprès de ce panel.
Publié le 11-05-2022 par César Armand
C'était il y a deux ans quasiment jour pour jour. Le 11 mai 2020, prenait fin le premier confinement lié au coronavirus. En deux mois, les Français qui travaillent dans un bureau ont été contraints de télétravailler, avec plus ou moins de difficultés. Depuis, les salariés continuent, ou pas, de travailler de chez eux, deux jours ou plus par semaine. Les professionnels, eux, s'interrogent : faut-il plus ou moins de bureaux ? et où les implanter ?
Pour y voir plus clair, l'association des directeurs immobiliers (ADI), qui regroupe 400 directeurs et responsables immobiliers des entreprises publiques et privées pour un patrimoine total de 350 millions de mètres carrés (1/3 du parc total, Ndlr), a commandé, en novembre 2021, à EY une enquête auprès de 256 directeur généraux, directeurs financiers, directeurs des ressources humaines et directeurs immobiliers.
La montée en puissance du télétravail change la donne
Après avoir chuté de 10% en 2020, le nombre de localisations tertiaires a rebondi de 26% en 2021, relève ainsi EY, qui recense 1.386 implantations ou extensions de sièges, de centres de recherche et développement (R&D) ou d'agences commerciales. Il n'empêche : la grande majorité (74%) des acteurs interrogés estiment que la montée en puissance du télétravail va bouleverser leurs décisions.
« A un horizon de 3 ans, les collaborateurs devraient passer 2,8 jours dans leurs locaux et 2,2 en dehors (t
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