Refonte de l'alliance Renault-Nissan : ce qu'il faut savoir
Renault et Nissan vont dévoiler le 6 février les détails de leur nouvelle alliance, scellée en 1999 mais déstabilisée après la chute de l'ancien patron Carlos Ghosn.
Publié le 05-02-2023 par Marie Nidiau
Pas un divorce, mais une refonte de cette alliance vieille scellé il y a 24 ans. Une alliance dans laquelle le groupe français Renault détenait jusqu'ici 43,3% des parts du capital de son allié japonais, Nissan, lequel ne possédait que 15% des parts de Renault qui plus est sans droit de vote dans les assemblées générales. Un schéma déséquilibré mis en place lors des premières années de l'Alliance quand Renault est venu sauver Nissan mais qui n'a cessé de créer des tensions au fur et à mesure que le constructeur japonais montait en puissance. Cette nouvelle alliance s'apprête donc à restaurer une égalité parfaite puisque Renault va céder ses parts pour revenir à 15% du capital de Nissan et la restriction de vote du constructeur japonais sera levée. Les « accords définissant les nouvelles bases de leur partenariat » seront dévoilés ce lundi 6 février à Londres. Avant cette décision finale, retour en quatre points sur ce qu'implique cette refonte de l'alliance.
Un équilibre pour restaurer la confiance
En 1999, Renault décide d'investir 36,8% du capital de Nissan, alors en grande difficulté financière. En 2002, Nissan prend 15% de Renault qui, à son tour, décide de monter ses investissements à 44,4% puis 43,3% l'année suivante, sous l'égide de Carlos Ghosn, alors numéro 2 du constructeur français et responsable de cette alliance. Mais au fil de années l'ingérence de l'Etat français et l'histoire des d
Les dernières actualités
Publié le 04/05/2024 à 10:42:50
Agriculture : les députés retoquent une mesure pour faciliter l'installationPublié le 04/05/2024 à 10:42:44
Atos : les créanciers ouvrent la voie à un sauvetagePublié le 04/05/2024 à 10:42:38
Nouvelle loi logement : le ministre Kasbarian promet « ni obligation ni contraintes nouvelles pour les maires »Publié le 04/05/2024 à 10:42:31
L'intelligence artificielle consomme trop d'eau : comment contrôler sa soif ?Publié le 04/05/2024 à 10:42:24
Low-cost long-courrier : « Je crois que nous réussirons, j'ai parié beaucoup d'argent là-dessus », Bjørn Tore Larsen (Norse)Publié le 04/05/2024 à 10:42:17
Allemagne : un important incendie s'est déclaré dans une usine d'armement à Berlin, qui fournit du matériel à l'UkrainePublié le 04/05/2024 à 10:42:17
Les banques françaises battent le consensus des analystes au premier trimestrePublié le 04/05/2024 à 10:42:10
« Shrinkflation », délais de paiement : Bercy veut serrer la vis sur les plus grandes fraudes à la consommationPublié le 04/05/2024 à 10:42:03
L'inflation, ce poison que n'arrive toujours pas à endiguer la TurquiePublié le 04/05/2024 à 10:41:55
Automobile : des voitures électriques chinoises à moins de 20.000 euros devraient déferler en France dès cette annéePublié le 03/05/2024 à 10:42:21
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque « intolérable » contre les membres d'un de ses partis politiquesPublié le 03/05/2024 à 10:42:21
Séoul accuse la Corée du Nord de préparer des attaques « terroristes » contre ses ambassadesPublié le 03/05/2024 à 10:42:17
Coup dur pour Alstom : Siemens rafle le marché des premiers TGV américainsPublié le 03/05/2024 à 10:42:16
Climat : TotalEnergies renonce à faire appel dans son procès contre GreenpeacePublié le 03/05/2024 à 10:42:08
Accord sur la fin des centrales à charbon du G7 : un coup d'épée dans l'eau pour le climat ?Publié le 03/05/2024 à 10:42:08
En France, le second souffle de l'éolien en merPublié le 03/05/2024 à 10:42:07
Assurabilité des communes : la question de la couverture du risque « émeutes » n'est toujours pas tranchéePublié le 03/05/2024 à 10:42:03
Collectivités locales : les pistes d'Eric Woerth sur la décentralisationPublié le 03/05/2024 à 10:41:55
La SNCF priée de justifier l'intérêt des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux